Ah, voilà une belle histoire de campus! Moi, j'aime bien les histoires qui se déroulent sur les campus, que ça soit drôle parce qu'intelligent, comme Changing Places, Small World et Nice Work de David Lodge, ou drôle parce que pas intelligent, comme Urban Legend 2.
Un jeune californien arrive dans sur un campus de la Côte Est et, parce qu'il est faciné par un groupe d'étudiants étranges, reclus et ssupérieument érudits; il signe pour un tutoriat avec eux et un vieux prof-gourou magnétisant. Très vite, il est intégré dans ce groupe résolument à part, parle avec eux en grec, passe ces week-ends dans une grande maison de campagne et se laisse vivre dans cette atmosphère d'amitié post-adolescente, alcoolisée et LSD-isée. Mais ses compagnons poussent un peu loin le trip "Antiquité", et la dolce vita intello se heurte à un secret un peu lourd à porter.
Wow, je me relis, et la dernière phrase de cette "critique" est écrite avec le zgeg ! Pas ce livre, en tous cas, d'ailleurs l'auteure est une femme. C'est très bien, un poil intello mais sans complaisance, et le secret qui lie tous ces braves gens est si gros que l'on voit comment un parfait état de grâce peut se déliter et devenir une prison mentale, opressante. Très, très agréable à lire, si ce n'est un poil long sur la partie "plus dure sera la chute". Je sens que je vais m'envoyer son autre livre, The Little Friend, qui traîne sur mon étagère depuis quelques semaines déjà.
Un jeune californien arrive dans sur un campus de la Côte Est et, parce qu'il est faciné par un groupe d'étudiants étranges, reclus et ssupérieument érudits; il signe pour un tutoriat avec eux et un vieux prof-gourou magnétisant. Très vite, il est intégré dans ce groupe résolument à part, parle avec eux en grec, passe ces week-ends dans une grande maison de campagne et se laisse vivre dans cette atmosphère d'amitié post-adolescente, alcoolisée et LSD-isée. Mais ses compagnons poussent un peu loin le trip "Antiquité", et la dolce vita intello se heurte à un secret un peu lourd à porter.
Wow, je me relis, et la dernière phrase de cette "critique" est écrite avec le zgeg ! Pas ce livre, en tous cas, d'ailleurs l'auteure est une femme. C'est très bien, un poil intello mais sans complaisance, et le secret qui lie tous ces braves gens est si gros que l'on voit comment un parfait état de grâce peut se déliter et devenir une prison mentale, opressante. Très, très agréable à lire, si ce n'est un poil long sur la partie "plus dure sera la chute". Je sens que je vais m'envoyer son autre livre, The Little Friend, qui traîne sur mon étagère depuis quelques semaines déjà.
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